1. Alors le roi, bouleversé, monta dans la chambre à l’étage de la porte de la ville et se mit à pleurer. Il disait en marchant : Mon fils Absalom ! mon fils, mon fils Absalom ! Ah ! si j’étais mort à ta place ! Absalom, mon fils, mon fils !
2. On dit à Joab : Le roi pleure et mène deuil sur Absalom.
3. Et la victoire, ce jour-là, devint un deuil pour tout le peuple, car en ce jour le peuple entendait dire : Le roi est affligé à cause de son fils.