7. Que si ayant un mari, elle s'est engagée par quelque voeu, ou par quelque chose qu'elle ait proférée légèrement de sa bouche, par laquelle elle se soit obligée sur son âme ;
8. Si son mari l'a entendu, et que le jour même qu'il l'aura entendu il ne lui en ait rien dit, ses voeux seront valables, et les obligations par lesquelles elle se sera obligée sur son âme, seront valables.
9. Mais si au jour que son mari l'aura entendu il l'a désavouée, il aura cassé le voeu par lequel elle s'était engagée, et ce qu'elle avait légèrement proféré de sa bouche, en quoi elle s'était obligée sur son âme ; l'Eternel lui pardonnera.
10. Mais le voeu de la veuve, ou de la répudiée, et tout ce à quoi elle se sera obligée sur son âme, sera valable contre elle.