13. Alors le prêtre effectue sur le coupable le geste rituel du pardon pour le péché commis, et l’homme obtient le pardon de Dieu.« Le prêtre accomplit cette cérémonie comme dans le cas d’une offrande végétale. »
14. Le Seigneur dit à Moïse :
15. « Si un homme, par mégarde, commet une faute grave à l’égard des offrandes consacrées au Seigneur, il doit procéder comme ceci : il amène pour le Seigneur, à titre de réparation, un bélier sans défaut, dont la valeur correspond au tarif en vigueur au sanctuaire ; cet animal est destiné à un sacrifice de réparation.
16. L’homme doit en outre compenser le préjudice subi par le sanctuaire et ajouter à cette compensation un cinquième de sa valeur, et il remet le tout au prêtre. Après avoir offert l’animal en sacrifice, le prêtre effectue sur le coupable le geste rituel du pardon des péchés, et celui-ci obtient le pardon de Dieu.
17. « Si l’homme pèche en commettant un acte interdit par un commandement du Seigneur, il est coupable, même s’il l’a fait sans s’en rendre compte, et il en porte la responsabilité.
18. Il doit amener au prêtre un bélier sans défaut, de la valeur réglementaire, pour un sacrifice de réparation ; le prêtre effectue sur le coupable le geste rituel du pardon pour le péché qu’il a commis par inadvertance, et l’homme obtient le pardon de Dieu.