Lévitique 22:12-22 La Bible en Français Courant (FRC97)

12. Si la fille d’un prêtre a épousé un laïc, elle n’a pas le droit de consommer ce qui est prélevé sur les offrandes réservées à Dieu.

13. Mais la fille d’un prêtre, veuve ou divorcée, qui n’a pas d’enfants et qui est revenue habiter chez son père comme avant son mariage, peut manger la même nourriture que lui. En dehors de ces cas, aucun laïc ne doit manger de nourriture consacrée.

14. « Si quelqu’un en mange par mégarde, il doit rendre au prêtre l’équivalent de ce qu’il a pris, avec un supplément d’un cinquième.

15. « Les prêtres ne doivent pas profaner ce que les Israélites ont prélevé sur les offrandes qu’ils consacrent au Seigneur :

16. s’ils en mangent lorsqu’ils ne sont pas en état de le faire, ils chargent les Israélites d’une faute exigeant réparation. Je suis le Seigneur, et c’est moi qui consacre les prêtres à mon service. »

17. Le Seigneur dit à Moïse

18. de communiquer les prescriptions suivantes à Aaron, à ses fils et à tous les Israélites :« Supposons que quelqu’un parmi vous, un Israélite ou un étranger vivant en Israël, veuille m’offrir un sacrifice complet, de manière spontanée ou pour accomplir un vœu :

19. s’il désire obtenir ma faveur, il doit amener un mâle sans défaut, taureau, bélier ou bouc.

20. Il n’est pas permis d’amener un animal présentant un défaut, je ne l’accepterais pas de votre part.

21. S’il s’agit d’un sacrifice de communion qui m’est offert de manière spontanée ou pour accomplir un vœu, j’accepterai un bœuf, un mouton ou une chèvre, pourvu que l’animal ne présente aucun défaut.

22. N’amenez donc aucun animal aveugle, estropié, mutilé, atteint de verrues ou d’une maladie de la peau pour l’offrir en sacrifice consumé sur mon autel.

Lévitique 22