3. Le prêtre examine la partie malade : si les poils y sont devenus blancs et qu’une cavité se forme dans la peau, c’est un cas de lèpre ; sitôt après l’examen, le prêtre déclare l’homme impur.
4. S’il s’agit d’une tache luisante et blanche, sans cavité dans la peau et sans poil blanc, le prêtre met le malade à l’isolement pour une semaine.
5. Le septième jour, il refait un examen : s’il constate que la tache n’a pas changé et ne s’est pas étendue sur la peau, il met le malade à l’isolement pour une deuxième semaine.
6. A la fin de celle-ci, il procède à un nouvel examen : si la tache s’est ternie et ne s’est pas étendue sur la peau, le prêtre déclare l’homme pur ; c’est une simple dartre. L’homme doit seulement laver ses vêtements pour être pur.
7. Mais si la dartre prend de l’extension après que le prêtre a examiné l’homme et l’a déclaré pur, celui-ci retourne chez le prêtre.
8. Le prêtre l’examine une nouvelle fois : lorsqu’il constate que la dartre s’est étendue sur la peau, il déclare l’homme impur ; c’est une forme de lèpre.
9. « Quand un homme est atteint d’une forme de lèpre, on l’amène chez le prêtre.
10. Le prêtre l’examine : s’il y a une boursouflure blanche sur la peau, avec des poils blancs et de la chair à vif,
11. il s’agit d’un cas de lèpre chronique ; le prêtre déclare l’homme impur. Il est inutile de le mettre en observation à l’isolement, car il est manifestement impur.
12. Par contre si le prêtre a l’impression qu’une éruption de boutons recouvre tout le corps de l’homme, de la tête aux pieds,
13. il procède à un examen approfondi. S’il constate que les boutons s’étendent effectivement sur tout le corps, il déclare que ce mal ne rend pas impur ; l’homme est pur puisque tout son corps est devenu blanc.
14. Mais le jour où apparaît sur lui de la chair vive, l’homme devient impur :
15. le prêtre examine l’endroit où la chair est à vif et déclare l’homme impur. La chair vive est impure, elle résulte d’une forme de lèpre.
16. Si l’endroit où la chair est à vif redevient blanc, l’homme retourne chez le prêtre ;
17. celui-ci l’examine et s’il constate que la plaie est effectivement redevenue blanche, il déclare qu’elle ne rend plus impur et que l’homme est donc pur.
18. « Quand un homme a eu un furoncle qui a guéri,