10. La joie et l’allégresse | ont disparu dans les vergers,et, dans les vignes, | il n’y a plus de cris de joie, | plus de réjouissances,on ne presse plus le raisin | dans le pressoir.Je fais cesser les cris de joie.
11. C’est pourquoi je frémis, | comme vibre une harpe, | en pensant à Moab,mon cœur se serre | pour Qir-Harès.
12. On voit le peuple de Moab | se donner de la peine | sur les hauts-lieux,et se rendre à son sanctuaire | pour prier ses idoles : | mais il n’y pourra rien.
13. Voilà ce qu’a dit l’Eternel depuis longtemps sur Moab.