16. Mon bien-aimé, il est à moi, | et moi, je suis à lui,lui qui paît son troupeau | sur les prés pleins de lis.
17. Et quand viendra la briseà la tombée du jour,et quand s’estomperont les ombres,reviens, ô toi mon bien-aimé,pareil à la gazelle | ou à un jeune faonsur les monts escarpés.