1. Quant au secours même destiné à ceux qui, en Judée, appartiennent à Dieu, il est superflu de vous en écrire davantage.
2. Je connais vos bonnes dispositions à ce sujet. J’ai même exprimé ma fierté à votre égard aux Macédoniens, en leur disant : « En Achaïe, ils sont prêts à donner depuis l’an dernier. » Votre zèle a motivé la plupart d’entre eux.
3. Toutefois, j’envoie nos frères pour que mes éloges à votre sujet ne soient pas démentis sur ce point, et que réellement vous soyez prêts, comme je l’ai annoncé.
4. Autrement, si les Macédoniens m’accompagnaient et ne vous trouvaient pas prêts, ma belle assurance tournerait à ma confusion – pour ne pas dire à la vôtre.
5. J’ai donc jugé nécessaire d’inviter ces frères à me devancer chez vous pour organiser par avance cette collecte que vous avez promise. Ainsi, elle sera prête à mon arrivée et sera l’expression d’un don libre et généreux, et non pénible et forcé.
6. Rappelez-vous : Semence parcimonieuse, maigre récolte. Semence généreuse, moisson abondante.