1. Pour l’aide à apporter aux chrétiens de Jérusalem, c’est inutile de vous écrire.
2. Je connais votre bonne volonté. Avec les gens de Macédoine, je me suis vanté à votre sujet. Je leur ai dit : « Les chrétiens de la province d’Akaïe sont prêts à donner depuis l’année dernière. » Et votre ardeur à rendre service a entraîné presque tout le monde.
3. Pourtant, je vous envoie ces frères, pour que vous soyez vraiment prêts, comme je l’ai dit. Dans cette affaire, j’étais fier de vous, il ne faut pas que ce soit pour rien.