1. La Loi, en effet, n'ayant qu'une ombre des biens à venir, et non l'image même des choses, ne peut jamais, par ces mêmes sacrifices que l'on offre sans interruption chaque année, sanctifier parfaitement ceux qui s'en approchent.
2. Autrement n'aurait-on pas cessé de les offrir; car ceux qui rendent ce culte, une foi purifiés, n'auraient plus eu aucune conscience de leurs péchés.